Au cours de l’histoire, tout a évolué ainsi que la robe de mariée. De plus, la mariée n’était pas obligée de porter une robe spéciale pendant la cérémonie. Il suffisait de porter la plus jolie de sa garde-robe. Découvrez l’histoire de la robe de mariée tout de suite.
Dans les temps de la Grèce antique
Dans la Grèce antique, dans les territoires proches de Sparte, le mariage pouvait se réaliser sans consentement. Avant la cérémonie, l’homme vient enlever sa future femme de la maison de ses parents et la ramène chez lui. Cette dernière va avoir le crâne rasé et s’habille de vêtements d’homme. Suite à cela, elle sera emmenée dans la chambre nuptiale qui est dans l’obscurité totale.
Dans d’autres parties du pays, les mariés ont le droit d’accomplir des cérémonies, qui comprennent des sacrifices et des banquets. À cet effet, la mariée porte ce qu’on imagine une longue robe en lin blanc avec un voile. Cette robe peut se présenter sous deux formes :
– Le péplos dorien, une grande pièce de tissu rectangulaire attachée à la taille. Il est maintenu par une ceinture ou des épingles en bronze, en fer ou en métal précieux.
– Le chiton ionique, une robe douce et volumineuse venue avec la découverte du lin.
La tenue de mariée de l’Égypte ancienne
Dans les temps anciens, les jeunes mariés avaient la plus grande liberté en Égypte. Loin d’être un contrat et un acte formel, le mariage symbolise un couple désireux de vivre ensemble. Une femme a pleinement le droit de choisir son futur mari sans se soucier de l’avis de sa famille. La cérémonie est une fête de famille où les gens suivent la mariée qui se déplace vers son mari.
À en juger par les estampes et les dessins sur le papyrus, les femmes semblent porter des robes de lin. Elles sont plutôt fluides ou des robes en mousseline moulant le corps.
Pour compléter la tenue, la femme porte des accessoires comme des perruques et de magnifiques bijoux. Il s’agit de colliers plastron et de bracelets lourds.
Vous avez pu voir que certaines cérémonies de mariage ne sont pas tendres. Toutefois, celui de l’Égypte ancienne est basé sur l’amour des deux êtres.